Il faudrait pour grandir oublier la frontière est une novella parue en 2015 dans la collection 111 des éditions Scylla.
>>> La couverture est signée Laurent Rivelaygue, qui ne fait pas que ça.
>>> La maquette est l’œuvre de Laure Afchain, qui fait d’autres trucs très chouettes.
>>> Le texte a bénéficié de l’œil de faucon de Pascale Doré, correctrice et relectrice extraordinaire (chance aux jeux, retour de l’être aimé, répare les moteurs russes…)
Les premières pages sont disponibles pour pas un rond en .pdf >>> ici
« Que sa fureur est belle, comme elle agite l’air tout autour, songea Bassem. L’envie le tenailla et lui rendit un peu les années perdues au désert, et ces nuits qu’il n’avait pas passées à guetter l’ennemi, et les marches sans bruits, à rase-murs, la ceinture lourde de grenades, le dos courbé par le souffle épaissi de peur de celui qui venait derrière. »
Destinées critiques >>>
- Bifrost
- Yossarian
- Charybde 27
- Quoi de neuf sur ma pile
- Blog O’livre
- Unidivers
- Imaginelf
- Cat(s), books and rock’n roll
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- Un papillon dans la lune
- Vingt et Un livres
- Un dernier livre avant la fin du monde
- BeNzine
- Lorhkan et les mauvais genres
- Rêve général
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2 réflexions sur “Il faudrait pour grandir oublier la frontière”